Le support des technologies, considéré plus comme un soutien que comme une aide, doit être fourni :

• aux associations et aux institutions nécessiteuses ;
• aux personnes démunies (enfants, jeunes, vieillards, malades, exclus, socialement ou géographiquement défavorisées, ...) dont la situation difficile nécessite une aide spécifique et complémentaire aux interventions publiques ou privées ;
• aux personnes en difficulté, pour leur permettre de prendre leur vie en charge autant que faire se peut ; par exemple aux jeunes de banlieue pour accéder à l'apprentissage et à la formation en guise de tremplin à leur (ré)insertion dans la société, ou bien des personnes éloignées n'ayant pas accès aux soins de santé, ...

TSF apportera son soutien à des projets existants émanant d'associations ou d'organismes d'utilité publique (gouvernementaux ou non) déjà bien établis.

Ces projets s'inscrivent dans l'objet social de TSF et donc de venir en aide aux plus démunis où qu'ils soient et d'où qu'ils viennent.

Le but de la dimension technologique attribuée à ces projets n'est pas de leur conférer (seulement) une touche d'originalité mais permet à toutes ces initiatives intéressantes de leur donner une assise pérenne du fait de privilégier à la fois les analyses quantitative et qualitative nécessaires, la mesure des résultats, l'évaluation des améliorations possibles, tout autant que les bases pour transmettre ce savoir afin de produire les effets positifs recherchés : réguliers, continus et surtout durables.

Si la durabilité est très importante, s'inscrire dans la durée n'est pas le but ultime de TSF, mais plutôt sans doute de viser à une plus grande efficacité, c'est-à-dire vraisemblablement le meilleur (l'ultime) apport que constitue la technologie dans sa finalité.

Dans certains cas, ces technologies seront très utiles pour des évènements particuliers à caractère unique tels que tremblements de terre, inondations ou tsunamis.

Donc, dans ces cas, les outils technologiques ne s'inscriront pas dans la durée proprement dite, mais permettront d'analyser, de garder une trace des conséquences, de comprendre et donc de mieux appréhender ces catastrophes, gages d'y être plus efficacement préparés à l'avenir.