En fait pour éviter les difficultés récurrentes (voire rédhibitoires) des associations à pouvoir financer leur siège social, leur permanence et les frais fixes y afférents, TSF a choisi de faire confiance à des partenaires costauds en les incluant d’emblée à son conseil d’administration.

C’est en effet généralement une excellente opportunité/visibilité pour les entreprises de participer à l’aventure TSF au niveau de leur implication sociétale.

Donc nos coûts fixes au siège social sont couverts grâce au soutien à long terme (engagement de 5 ans) des membres de notre Conseil d’Administration, composé de grandes sociétés partenaires.

Cette incorporation de partenaires de cette taille contraint automatiquement TSF, non seulement à une parfaite transparence, mais également force TSF à un certain degré d’excellence, autant dans la sélection des projets que dans le choix des partenaires pour les réaliser ; ces grands groupes ne désirant aucunement lier leur réputation à des projets médiocres.

Par ailleurs, TSF peut compter sur le soutien sans faille du Ministère de la Coopération pour compléter ses budgets concernant les projets qui sont dans la cible du Ministère.

Ultérieurement, une part complémentaire des ressources financières de TSF proviendra des donateurs privés, des évènements qu’elle organisera (week-end d’information, séminaires, formations, …) et du support du grand public.

Les annonceurs sur le Site Web constitueront la dernière partie du financement disponible.

Actuellement TSF se refuse à faire l’investissement financier de mailings, privilégiant plutôt les séminaires (Rotary, Lions, divers clubs), les conférences dans les écoles et certaines entreprises (mécénat, fondation) et le contact direct avec les sociétés, les grands groupes voire les donateurs privés.

Par ailleurs, TSF, comme toute association sans but lucratif, n’a pas pour objectif de faire des profits mais cela ne lui est pas interdit, d’autant que ces profits lui peuvent lui permettre de suppléer au financement de ses projets.

Par ‘suppléer’, nous entendons aussi bien trouver le complément de financement (par exemple les projets européens sont financés à 70%, il nous faut trouver les 30% manquants), que de gérer le cash-flow pour éviter tout problème de trésorerie.